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مجموعة مؤلفات ورسائل الشيخ حمود التويجري - المجموعة السادسة
Compilation d'ouvrages et d'écrits de shaykh H̱umūd at-Tuwayjirī - 6ème Partie
الشيخ حمود بن عبد الله التويجري (ت: ١٤١٣ هـ)
Shaykh H̱umūd ibn ʿAbd Allah at-Tuwayjirī (m. 1413 H)
Format : 17x24 cm
1168 Pages
Couverture Cuir - Pages Jaunes
Ceci est le sixième volume de la série des œuvres du distingué Cheikh H̱umūd ibn ʿAbd Allah at-Tuwayjirī. Ce volume s'inscrit dans la continuation de cette précieuse série, après la publication des cinq précédents volumes. Ce volume contient trois œuvres du Cheikh H̱umūd at-Tuwayjirī, organisées comme suit :
1 - "La réplique célèbre aux personnes affichant et exhibant leur parure" : Dans ce livre, le cheikh clarifie l'interdiction de la parure et de l'exhibition en se basant sur les preuves du Coran, des Hadiths et des dires des savants. Il souligne également l'obligation de détourner le regard de ce qu'il est interdit de voir et de préserver sa chasteté face à ce qui est interdit. De plus, il réfute certains points de livre "Le voile de la femme musulmane d’après le Coran et la Sunna" de l'éminent Cheikh Muẖammad Nās̱ir ad-Dīn al-Albānī.
2 - "La manifestation de la vérité dans la réfutation d'Ibn Maẖmūd" : Dans ce livre, le cheikh réfute ce qu'a écrit ʿAbd Allah ibn Zayd bin Maẖmūd - chef des tribunaux religieux au Qatar - à propos de la foi en la prédestination, la différence entre un prophète et un messager, la défense du compagnon Abū Dharr, ainsi que la différence entre l'islam et la foi.
3 - "Argumenter avec les hadiths contre ceux qui nient l'existence du Mahdi attendu" : Dans ce livre également, le cheikh réfute ʿAbd Allah ibn Zayd bin Maẖmūd sur ses transgressions flagrantes du Coran et de la Sunna authentique en ce qui concerne le Mahdi attendu et son déni de celui-ci, ainsi que ses transgressions dans l'affaire de Gog et Magog.
Biographie de Shaykh H̱umūd ibn ʿAbd Allah at-Tuwayjirī :
Il est Cheikh H̱umūd ibn ʿAbd Allah ibn H̱umūd ibn ʿAbd ar-Raẖman ibn ʿAbd Allah at-Tuwayjirī de la famille al-Jabāra, un clan important de la tribu ʿAnizzah.
Né en 1334 AH, dans la ville d'al-Majma'ah, capitale de la région Sudayr, où réside sa famille. Son père est décédé en 1342 AH, alors que le cheikh n'avait que huit ans. Il a alors appris les rudiments de la lecture et de l'écriture, et a mémorisé le Coran avant même l'âge de onze ans.
À ce jeune âge, il a également étudié des résumés de livres scientifiques dans les domaines de l'Unicité (Tawhid), des Hadiths, de la jurisprudence (Fiqh), des règles de l'héritage (Farāʾiḏ) et de la grammaire arabe (Naẖw). Il a étudié auprès du Cheikh Aẖmad as̱-S̱āʾigh le livre "Les trois principes fondamentaux" du grand réformateur Muẖammad ibn ʿAbd al-Wahhāb.
Lorsqu'il a atteint l'âge adulte, il a rejoint le cercle d'étude de Fiqh du juge de la région de Sudayr, le Cheikh ʿAbd Allah ibn ʿAbd al-ʿAzīz al-ʿAnqarī, et a continué à étudier avec lui pendant un quart de siècle, se plongeant dans diverses disciplines, y compris le Tawhid, l'exégèse du Coran (Tafsir), les Hadiths, le Fiqh, les principes du Fiqh, les règles de l'héritage, la grammaire, les livres de la biographie du Prophète (Sirah), l'histoire, la littérature, et bien d'autres.
Le Cheikh H̱umūd - رحمه الله - avait une grande ambition pour l'érudition et la recherche. Par conséquent, il a consacré tout son temps à cela, rédigeant à la fois de grands et de petits livres, qui sont devenus très bénéfiques. En effet, il s'est concentré sur la rédaction de traités sur des questions qui préoccupaient les gens, ou bien il a répondu aux doutes et aux problèmes qui sont apparus dans la société. Il a clarifié et expliqué ces problèmes en utilisant des preuves fortes et des arguments clairs, ce qui a conduit à l'acceptation de ses œuvres et à leur utilité.
Il consacrait ses journées à l'étude, la recherche et l'écriture, depuis le lever du soleil jusqu'à son coucher, jusqu'à la prière de ʿIshāʾ. Parfois, après la prière de ʿIshāʾ, il passait encore un peu de temps dans sa bibliothèque pour terminer ce qu'il avait commencé pendant la journée, en particulier à la fin de sa vie. Quant à ses nuits, il consacrait une grande partie de celles-ci à la prière nocturne et à la dévotion, qu'il soit à la maison ou en voyage.
Ses œuvres ont atteint plus de cinquante livres et essais, dont près de quarante ont été publiés. Par exemple, l'Imam ʿAbd al-ʿAzīz ibn Bāz - رحمه الله - a introduit un certain nombre de ses livres. Il s'est opposé à tous ceux qui ont dévié du droit chemin parmi les auteurs contemporains et les a réfutés avec sa plume, défendant la Sunnah et la vraie croyance, la croyance des gens de la Sunnah et de la communauté.
Il a présenté certaines de ses réfutations à l'Imam Sheikh Muẖammad ibn Ibrāhīm Āl Shaykh - رحمه الله. Cela a amené Sheikh Muẖammad à apprécier ses efforts pour réfuter les dissidents. Sheikh Muẖammad aimait beaucoup Sheikh H̱umūd, et a même été cité par certains de ses élèves, disant qu'il aimait Sheikh H̱umūd at-Tuwayjirī - رحمه الله - au point qu'une fois, après que Sheikh H̱umūd ait présenté à Sheikh Muẖammad l'une de ses réfutations contre certains innovateurs, lorsque Sheikh H̱umūd s'est levé et s'est retiré, Sheikh Muẖammad a dit : "Sheikh H̱umūd est un combattant, qu'Allah le récompense".
Il a obtenu des Ijāzah de plusieurs érudits, parmi les plus célèbres :
- Sheikh Ismāʿīl al-Ans̱ārī.
- Sheikh S̱āliẖ ibn ʿAbd Allah ibn H̱umayd.
- Sheikh Rabīʿ ibn Hādī al-Madkhalī.
- Sheikh S̱āliẖ ibn ʿAbd al-ʿAzīz Āl Shaykh.
- Sheikh ʿAbd Allah ibn ʿAbd ar-Raẖmān as-Saʿd.
- Sheikh ʿAbd ar-Raẖmān al-Faryuwāʾī... et d'autres.
En effet, Sheikh H̱umūd - رحمه الله - avait sa place et son poids parmi les gens de l'érudition, et ils désiraient associer leur chaîne de transmission à la sienne.
Ceux qui le connaissaient le décrivaient comme pieux et vertueux, et comme quelqu'un qui se consacre à Allah par tous les moyens de dévotion. Il était l'un de ceux qui récitaient constamment le Livre d'Allah, qui pratiquait la prière nocturne, et qui évitait tout ce qui n'est pas bénéfique ou utile. Ainsi, on ne le trouvait jamais sauf en adoration ou en recherche. Cela, en plus de son humilité, sa tranquillité, sa dignité et sa bonne compagnie, malgré le fait qu'il évitait de se montrer et de chercher des disciples.
Il est décédé à Riyadh le 5/7/1413 AH. La prière d'al-Janâzah a été faite à la mosquée Al-Rajhi, et il a été enterré au cimetière Al-Naseem en présence d'un grand nombre de personnes, y compris des érudits et des étudiants en sciences religieuses.
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